• 15 octobre 2019

Mercedes 250SL 1967

Mercedes 250SL 1967

Mercedes 250SL 1967 1024 576 VEA

Mercedes 250SL 1967

Par Jean-Pierre Lafortune, membre depuis 1984

J’ai acquis cette voiture en mai 2012.

Le choix de ce véhicule reposait sur un besoin d’avoir un peu plus d’espace de coffre que la MGA.

Une recherche sur internet me familiarise un peu plus sur les modèles 230sl-250sl-280sl et le marché. Les prix varient autant que la condition. Mais je ne cherchais pas une voiture d’exposition pour récolter les trophées mais plutôt une voiture de route pour amasser les bons moments.

Après avoir regardé une demie douzaine de voitures locales, j’en remarque une à 4 heures de route de Montréal…au Québec ! Le vendeur la possède depuis une douzaine d’année, la roule tous les étés, va même régulièrement dans les maritimes.

C’est un model 250 européen, fabriqué une seule année. Elle possède une transmission manuelle ce qui rend la conduite plus agile et intéressante. L’intérieur d’origine de couleur cognac est en cuir et en très bonne condition. Selon les photos que j’avais reçues par internet, je pouvais constater qu’une peinture serait nécessaire. Afin d’éviter les erreurs coûteuses, je décide d’aller voir la voiture mais avec l’expert carrossier qui avait déjà fait un très beau travail de peinture sur ma MGA.

Car comme les anglaises, cette allemande peut cacher des trésors de problèmes rouillés…et un acheteur peut avoir tendance au rêve.
Après examen, essaie routier et le ok du carrossier, une entente fut conclue avec le vendeur. J’étais à évaluer le meilleur moyen de rapporter le véhicule quand le vendeur m’offre de conduire son véhicule et en même temps en profiter pour voir de sa famille …super gentil et il a confiance en son véhicule! et il s’assurait d’être payé rapidement et que je ne changerais pas d’avis non?

L’entente avec mon carrossier était que je devais lui apporter le véhicule au mois de novembre et qu’il me remettrait le véhicule repeint au mois de février. Comme nous n’étions qu’en mai, cela me laissait amplement de temps pour conduire ma nouvelle acquisition et constater si j’aimais ou non …

En septembre je commence donc la préparation de la voiture. Comme j’avais décidé de changer la couleur de bourgogne à un bleus-gris j’ai déshabillé complètement la voiture incluant de sortir la mécanique pour permettre un meilleur accès au carrossier. Et puis pendant que la voiture serait chez le carrossier je pourrai en profiter de bien réviser les éléments mécaniques bien au chaud dans mon garage tandis qu’il neige dehors !

Les meilleurs plans ont tendances à foirer, même en ayant pris les précautions et les suivis qui s’imposent. Ainsi après examen plus approfondi et malgré un taux de compression dans les normes, le moteur doit être rebâtit …bon j’ai le temps avant le printemps.! Tant qu’à faire, je vais réviser la transmission et le différentiel et en changer les joints d’étanchéités et coussinets, les roulements, bref en un rien de temps je me retrouve devant une restauration d’envergure plutôt qu’un simple voile pour améliorer l’apparence.

La voiture me fut effectivement livrée en février …4 ans plus tard !!!…pas peinte …cauchemar!

Heureusement que je rencontre Alex “l’artiste peintre” qui me sort de cette situation pour le moins frustrante. La carrosserie fut terminée à l’été 2016. La voiture réassemblée dans mon garage à l’hiver et mise sur la route à la fin de l’été 2017…petits délais sur l’horaire original.

Sans être un véhicule concours, le résultat final est mieux que ce que je recherchais au départ et j’ai bien hâte de profiter de l’été 2018.

Mercedes 250SL 1967

Par Jean-Pierre Lafortune, membre depuis 1984

J’ai acquis cette voiture en mai 2012.

Le choix de ce véhicule reposait sur un besoin d’avoir un peu plus d’espace de coffre que la MGA.

Une recherche sur internet me familiarise un peu plus sur les modèles 230sl-250sl-280sl et le marché. Les prix varient autant que la condition. Mais je ne cherchais pas une voiture d’exposition pour récolter les trophées mais plutôt une voiture de route pour amasser les bons moments.

Après avoir regardé une demie douzaine de voitures locales, j’en remarque une à 4 heures de route de Montréal…au Québec ! Le vendeur la possède depuis une douzaine d’année, la roule tous les étés, va même régulièrement dans les maritimes.

C’est un model 250 européen, fabriqué une seule année. Elle possède une transmission manuelle ce qui rend la conduite plus agile et intéressante. L’intérieur d’origine de couleur cognac est en cuir et en très bonne condition. Selon les photos que j’avais reçues par internet, je pouvais constater qu’une peinture serait nécessaire. Afin d’éviter les erreurs coûteuses, je décide d’aller voir la voiture mais avec l’expert carrossier qui avait déjà fait un très beau travail de peinture sur ma MGA.

Car comme les anglaises, cette allemande peut cacher des trésors de problèmes rouillés…et un acheteur peut avoir tendance au rêve.
Après examen, essaie routier et le ok du carrossier, une entente fut conclue avec le vendeur. J’étais à évaluer le meilleur moyen de rapporter le véhicule quand le vendeur m’offre de conduire son véhicule et en même temps en profiter pour voir de sa famille …super gentil et il a confiance en son véhicule! et il s’assurait d’être payé rapidement et que je ne changerais pas d’avis non?

L’entente avec mon carrossier était que je devais lui apporter le véhicule au mois de novembre et qu’il me remettrait le véhicule repeint au mois de février. Comme nous n’étions qu’en mai, cela me laissait amplement de temps pour conduire ma nouvelle acquisition et constater si j’aimais ou non …

En septembre je commence donc la préparation de la voiture. Comme j’avais décidé de changer la couleur de bourgogne à un bleus-gris j’ai déshabillé complètement la voiture incluant de sortir la mécanique pour permettre un meilleur accès au carrossier. Et puis pendant que la voiture serait chez le carrossier je pourrai en profiter de bien réviser les éléments mécaniques bien au chaud dans mon garage tandis qu’il neige dehors !

Les meilleurs plans ont tendances à foirer, même en ayant pris les précautions et les suivis qui s’imposent. Ainsi après examen plus approfondi et malgré un taux de compression dans les normes, le moteur doit être rebâtit …bon j’ai le temps avant le printemps.! Tant qu’à faire, je vais réviser la transmission et le différentiel et en changer les joints d’étanchéités et coussinets, les roulements, bref en un rien de temps je me retrouve devant une restauration d’envergure plutôt qu’un simple voile pour améliorer l’apparence.

La voiture me fut effectivement livrée en février …4 ans plus tard !!!…pas peinte …cauchemar!

Heureusement que je rencontre Alex “l’artiste peintre” qui me sort de cette situation pour le moins frustrante. La carrosserie fut terminée à l’été 2016. La voiture réassemblée dans mon garage à l’hiver et mise sur la route à la fin de l’été 2017…petits délais sur l’horaire original.

Sans être un véhicule concours, le résultat final est mieux que ce que je recherchais au départ et j’ai bien hâte de profiter de l’été 2018.


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